Cartes blanches et noires – spatialisation & électro
Merci d’arriver suffisamment en avance pour faciliter le contrôle des Certificats et pièces d’identité à l’entrée de la salle.
L’instrument augmenté par des effets électroniques prend vie, sort de son cadre et se fait espace. L’extérieur devient intérieur et on plonge sous les cordes.
Pour cette première carte blanche (concept récurent, que nous retrouverons les prochaines saisons) c’est le pianiste Colin Vallon qui joue avec les codes du récital, en proposant un double concert de deux fois quatre heures, le samedi soir et le dimanche matin.
Ici, dans la partie nuit, le piano, augmenté par des effets électroniques, prend vie. Il sort de son cadre et se fait espace. L’extérieur devient intérieur et on plonge sous les cordes. On sent le souffle des étouffoirs, les battements des marteaux, les frissons de la table d’harmonie. Le piano se transforme, se distend comme une créature fantastique, et de métamorphoses en métamorphoses, se fait tantôt menaçant, tantôt caressant.
Quatre heures soutenues, durant lesquelles il vous est permis de profiter autant que vous le souhaiterez et de quitter la salle à n’importe quel moment.